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OPUS12.01

Entre les expositions et les Salons, nous avons eu envie de nous plonger dans les réserves et de vous parler plus en profondeur de certaines oeuvres.
Pour ce premier numéro d'OPUS12, nous vous invitons à découvrir le regard très personnel que Jean-Marie Périer a posé sur les créateurs de mode au cours des années 1990.

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Jean-Marie Périer
Yves Saint-Laurent, Paris, octobre 1965

En 1990, Jean-Marie Périer revient en France après dix années passées à Los Angeles et à New York comme réalisateur de films publicitaires. Il éprouve le désir de retrouver la photographie.
Le magazine ELLE lui donne carte blanche et lui permet de produire la série "L'univers des créateurs" avec la liberté et la fantaisie dans la mise en scène qui avaient fait sa marque dans les années soixante. Tous les grands couturiers passent devant son objectif.

Ce portrait de Yves Saint-Laurent dans son célèbre appartement de la rue de Babylone à Paris est d'une composition très classique, très "Périer", avec le personnage principal décalé au second plan.
Un mannequin, Sibyl Buck, pose à droite en robe YSL.
Cette photographie est également un témoignage unique. Avec l’aide du décorateur et architecte Jacques Grange, Yves Saint-Laurent meuble petit à petit son appartement des années 1920 de magnifiques tableaux de maîtres et de meubles et objets tout aussi prestigieux. La toile « Le Profil noir », réalisée en 1928 par le peintre cubiste Fernand Léger, surplombe le Grand Salon, tandis qu’un des vases en dinanderie de Jean Dunand – 1925 – ferme la scène à droite. Dans ce somptueux appartement on trouve des bronzes de la Renaissance, des meubles rococo du 18e siècle ou encore un sarcophage égyptien : genres et époques cohabitent avec audace.

Après la mort de Yves Saint-Laurent, sa collection fut dispersée au cours d’une vente aux enchères en 2009 – qui atteignit une somme extraordinaire – et son appartement fut vendu


Les tirages
Tirage C-print, numéroté, légendé et signé au recto. Tamponné à sec dans la marge inférieure.
Formats :
60 x 80 cm, édition de 12
80 x 120 cm, édition de 10
120 x 180 cm, édition de 5

Un tirage à développement chromogène, parfois appelé tirage C-Print, est une photographie argentique en couleurs qui peut être obtenue d'après un négatif couleur, une diapositive ou un fichier numérique.
Il s'agit d'un procédé photographique industriel dont les colorants sont formés par synthèse chimique au cours du développement. Le support est recouvert de couches de gélatine superposées contenant chacune des halogénures d’argent photosensibles associés à l’un des trois coupleurs de colorants cyan, magenta et jaune, nécessaires à la synthèse trichrome soustractive. Au cours du développement, les coupleurs réagissent avec le révélateur pour former le colorant dans chacune des couches correspondantes.

Éditions: selon la directive européenne 94/5/CE, afin d'être considéré comme oeuvre d'art, le nombre de tirages pour une photographie doit être inférieur à 30 exemplaires. Les oeuvres d'art bénéficient d'un régime fiscal favorable en France. Elles n'entrent pas dans le montant du patrimoine soumis à l'ISF. Les entreprises peuvent les réduire du bénéfice imposable selon certaines modalités (Art. 28bis du CGI).

 
Pour consulter le catalogue des tirages de Jean-Marie Périer, suivez ce lien
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ACTUELLEMENT À LA GALERIE

UN ÉTÉ EN FLEURS
PHOTOGRAPHIES - DESIGN
Galerie Basia Embiricos, Galerie Photo12, la Galerie du 10
10-14 rue des Jardins Saint-Paul, 75004 Paris
Exposition du 22 mai au 26 juillet 2014
Ouverture du mardi au samedi, de 14h à 18h30
et sur rendez-vous.
Tingting Wang
Paeonia, série Fàng, 2014
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